Pour la première fois depuis 1929, Opel quitte le giron de General Motors pour passer dans les mains du groupe français PSA (Peugeot, Citroën, DS). Seul le groupe Volkswagen devance encore le groupe PSA sur le continent européen. Nul doute, toutefois, le patron de PSA, Carlos Tavares, rêve de la première place sur le podium…
Retrouver de la marge bénéficiaire…
On le sait, Opel est dans le rouge depuis 2000. Les synergies, les économies d’échelle et l’échange de pièces et de technologies devrait permettre au “nouveau” groupe de dégager une marge bénéficiaire de l’ordre de 2 % à l’horizon 2020 pour atteindre 6 % six ans plus tard.
PSA a fait le calcul : d’ici là, quelque 1,7 milliard d’euro de coûts seront épargnés (la plupart d’ici 2020, même).