Dans les projets d’écologisation fiscale de notre gouvernement fédéral, l’hybride rechargeable ne bénéficie pas d’un crédit démesuré. À partir de 2026, ces véhicules seront en effet traités comme des véhicules à essence ou diesel et le ministre des Finances, Vincent Van Peteghem, souhaite limiter à 50 % leur déductibilité fiscale à partir de 2023. Un traitement injuste pour cette technologie ? Oui, selon Bart Van Rossen, fleet director de Ford Belgique, en tout cas en ce qui concerne le Ford Kuga PHEV.
Bart Van Rossen regrette que le PHEV ne soit pas considéré par le gouvernement comme une technologie de transition utile. Selon lui, l’échéance de 2026 pour l’électrification de toutes les voitures de société est prématurée : « Ce n’est pas faisable pour tout le monde et pour plusieurs raisons. D’abord, notre pays n’est pas assez rapide au niveau de l’implémentation d’une infrastructure de recharge publique. Et tout le monde n’est pas en mesure de placer une installation de recharge à la maison. Quid des personnes qui vivent dans des maisons mitoyennes ou dans un appartement ? Si vous ne pouvez pas recharger au travail, vous devez pouvoir compter sur l’infrastructure publique, mais celle-ci est insuffisante et, de surcroît, plus chère qu’une installation à domicile ou au travail. »
De plus, selon Bart Van Rossen, des solutions techniques existent pour tenir compte des kilomètres réellement parcourus par le PHEV en mode électrique : « Dans l’état actuel de la technologie, vous pouvez parfaitement calculer le rapport entre les kilomètres parcourus en mode électrique et ceux effectués avec du carburant. Pourquoi ne pas utiliser cela comme base pour la déductibilité fiscale ? »
D’après Bart Van Rossen, le PHEV a clairement une valeur écologique, surtout avec la technologie plug-in de Ford.
Un PHEV n’est pas l’autre
Le Ford Kuga PHEV est un « vrai » PHEV avec des émissions de CO2 d’à peine 30 gr/km. Un choix intéressant sous le régime actuel des voitures de société car il est 100 % déductible fiscalement. Mais la technologie est également différente des autres PHEV sur le marché.
Bart Van Rossen : « L’argument le plus souvent avancé contre les PHEV est que leur consommation de carburant est élevée s’ils ne sont pas chargés et émettent dès lors beaucoup de CO2. C’est vrai dans certains cas, mais pas avec la technologie que nous utilisons. Notre Kuga PHEV roule en effet comme un full hybrid lorsqu’il n’est pas chargé. J’en conduis un depuis un moment maintenant sans recharger et je note une consommation de 5,5 l/100 km. Ce qui est très acceptable pour un moteur à essence de 2,5 litres. D’ailleurs, les clients le confirment et indiquent qu’il s’agit d’une excellente alternative au diesel, et plus avantageuse d’un point de vue fiscal. »
L’explication – soyons un peu technique – réside dans la technologie Atkinson que Ford utilise pour son moteur à combustion. Une combinaison idéale avec la propulsion électrique. Il n’y a pas d’entraînement parallèle comme avec les autres hybrides rechargeables, mais une technologie « powersplit ». Un logiciel opère un choix intelligent quant à la propulsion la plus optimale à un moment donné. Il en résulte une expérience de conduite full hybrid souple qui garantit également une consommation de carburant et des émissions réduites. Evidemment, ce bénéfice est encore plus important lorsque le Kuga PHEV est chargé.
De l’hybride léger à l’hybride complet, en passant par l’hybride rechargeable et l’électrique complet, Ford dispose de toutes les technologies durables dans sa gamme. Découvrez-les pendant les Ford Electrified Business Weeks, avec des conditions exceptionnelles jusqu’au 30 juin.
Retour à l’essence et au diesel ?
Bart Van Rossen est particulièrement préoccupé par le fait que jeter l’anathème sur la technologie PHEV aura en fin de compte un effet contre-productif : « Beaucoup de gens concluront que, en l’absence d’un avantage fiscal lié au PHEV, ils feraient aussi bien de choisir une voiture à essence ou au diesel. Ce qui à son tour aurait un effet négatif sur les émissions de CO2. Je continue donc de plaider pour une évaluation des véhicules hybrides rechargeables par rapport à leur véritable valeur écologique et non en fonction de généralités telles que « ils consomment beaucoup quand vous ne les rechargez pas ». Notre Ford Kuga PHEV prouve le contraire. »
#Advertorial