Les personnes qui visiteront les palais du Heysel en janvier prochain n’y verront pas de voitures Nissan. Et ce, malgré la confirmation de la marque japonaise plus tôt. La faute au Covid 19 !
La décision de Nissan est assez surprenante. Pas plus tard que la semaine dernière, nous avions eu un contact avec l’importateur de Nissan. Celui-ci semblait avoir de grands projets pour le Salon de l’Auto à Bruxelles. Quelques premières y étaient d’ailleurs prévues. Entre-temps, cependant, les chiffres du Covid 19 se sont à nouveau emballés dans notre pays. Ce qui, selon nos collègues d’Autonieuws, est la raison invoquée par la marque pour justifier son retrait.
Notre source cite le porte-parole de Nissan, Melvin Keuter, qui affirme que “la décision a été prise pour réduire les risques pour les employés, les fournisseurs et les partenaires”. Le Salon de l’automobile perd ainsi l’une de ses 50 marques participantes, mais surtout : cela pourrait servir d’exemple à d’autres marques. La Febiac veut organiser le salon de la manière la plus sûre possible. Elle l’a ecnore précisé la semaine dernière, mais neutraliser tous les risques est évidemment une utopie. Nissan déclare qu’il soutient certes les mesures de la Febiac, mais que l’incertitude entourant le virus est trop grande pour que le constructeur participe lui-même au salon.
Selon le Moniteur de l’Automobile, la Febiac se réunirait ce vendredi pour discuter de la situation actuelle et décider de la poursuite ou non de l’organisation du Salon de Bruxelles 2022.
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