A peine entré en vigueur pour l’ensemble des véhicules neufs, le WLTP provoque déjà des problèmes. En effet, un souci informatique provoque un gros retard des immatriculations des véhicules neufs depuis le 1er septembre. De quoi parle-t-on ?
Avec l’ancienne norme NEDC, les importateurs devaient fournir quelque 500 données techniques à la DIV. Ce transfert se faisait automatiquement. Avec le passage à l’homologation WLTP, près de 800 données techniques doivent désormais parvenir à la DIV. C’est précisément cette augmentation de données transmises qui a causé un bug informatique.
A ce jour, quelque 3.000 voitures neuves ont été immatriculées depuis le début du mois de septembre. L’an dernier, à pareille époque, ils étaient environ 9.000. Pour autant, le bug informatique ne suffit pas à expliquer ce retard important. En effet, pas mal d’immatriculations ont été anticipées en août dernier (en témoignent les chiffres). Au total, seules quelques centaines de voitures attendraient d’être immatriculées.
Du côté de la DIV, on l’affirme : “Suite aux tests effectués depuis vendredi, la majorité des immatriculations sont de nouveau réalisables”. Il est donc possible de procéder à l’immatriculation des véhicules en ordre réglementairement.
Si, néanmoins, des problèmes survenaient encore, voici la procédure à suivre : “Les dossiers pour lesquels vous ne parvenez pas à réaliser l’immatriculation du véhicule peuvent être renvoyés à la DIV exclusivement par voie postale à l’adresse suivante : DIV – 1212 Bruxelles. Ces dossiers doivent impérativement être accompagnés du message d’erreur (printscreen) obtenu lorsque vous avez tenté d’immatriculer le véhicule via WEBDIV”.
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