Le 30 juin 2023 approche à grands pas. Tous les véhicules thermiques commandés après cette date perdront leur statut fiscal (déductibilité) et social (cotisation CO2) pour le moins favorable. Ce sont surtout les hybrides rechargeables (plug-in hybrides) qui vont en pâtir. Comment les fleetowners vont-ils réagir à cette évolution ?
Voici ce qui se passera pour tout véhicule plug-in hybride commandé à partir du 1er juillet 2023.
Fin avril-début mai, nous publions sur FLEET.be le questionnaire destiné à notre 4e grand Baromètre FLEET.be. Près de 330 fleetowners, de toute taille, y ont participé.
Et ils sont à peine un sur cinq à encore envisager l’acquisition de voitures plug-in hybrides après le 30 juin prochain. Ils sont plus de la moitié à avoir fait le plein de plug-in entre le 1er janvier et le 30 juin. Quelque 9% ne faisaient déjà plus le choix des PHEV depuis le 1er janvier dernier, moment où la déductibilité du carburant a chuté à 50% pour les plug-in. Et 21% ne se sont manifestement jamais tourné vers ces solutions hybrides rechargeables.
Tout électrique alors ?
Vont-ils pour autant se tourner vers le tout électrique ? Les résultats peuvent paraître un peu en porte-à-faux par rapport à la question précédente. Mais nous vous les livrons tels quels.
Voici pourquoi il ne faut attendre le 30 juin pour commander vos hybrides rechargeables et autres voitures de société thermiques.
C’est un grand « oui » dans 42% des cas. C’est un grand « non » dans 39% des cas. 12% hésitaient encore en mai, au moment de l’enquête. Et 7% ne se sentaient pas concernés par la question, puisqu’ils étaient déjà passé au zéro émission auparavant.
