
Voilà, c’est définitif : à partir de 2026, seules les voitures de société électriques seront déductibles des impôts. Mais aujourd’hui, c’est un autre type de propulsion qui est à l’honneur : l’hybride rechargeable. Est-il encore intéressant d’y investir ? La réponse ici.
Les conséquences de la nouvelle fiscalité se font déjà sentir à partir de 2023. Les véhicules à émissions non-nulles commandés entre le 1er juillet 2023 et le 31 décembre 2025 perdront progressivement leur déductibilité. Les formules de déduction actuelles seront maintenues, mais la déductibilité sera progressivement réduite à partir de 2025 (75% maximum en 2025). La déduction maximale sera réduite de 25% par an pour atteindre 0% en 2028.
Et le carburant est également pris à partie : pour un PHEV commandé à partir du 1er janvier 2023, la déductibilité fiscale des coûts de l’essence ou du diesel sera plafonnée à 50 %. L’électricité et les autres coûts ne seront pas touchés par cette limitation.

Idéal pour 2026
Cette limitation de la déductibilité des frais de carburant est plutôt une petite incitation symbolique à conduire à l’électricité avec un PHEV, ce qui est de toute façon le but de cette technologie. Il est donc essentiel d’opter pour un PHEV doté d’une grande batterie, comme le Kia Sportage, qui peut parcourir quelque 56 km avec une batterie pleine, ce qui est largement suffisant pour la plupart des navetteurs entre leur domicile et leur lieu de travail. En d’autres termes, l’impact sur le TCO sera plutôt limité.
Pour l’instant, l’hybride rechargeable reste un excellent choix en raison de ses avantages fiscaux (déductible à 100 % et souvent moins cher qu’un véhicule entièrement électrique). En outre, grâce à la combinaison d’un moteur électrique et d’un moteur à combustion interne, vous ne dépendez pas de l’infrastructure de recharge – encore souvent inadéquate – de notre pays.

Transition vers l’électrique
En outre, de nombreux employés sont un peu frileux lorsqu’il s’agit de parler de voitures électriques. L’angoisse de l’autonomie (peur de manquer d’électricité) et la peur du processus de charge sont souvent citées comme causes. Un PHEV apprend au conducteur à se familiariser avec les câbles et les bornes de recharge, sans ajouter la fameuse angoisse de l’autonomie. Elle abaissera le seuil pour de nombreux employés et pourrait les inciter à choisir un véhicule électrique la prochaine fois.
Et grâce à leur grande puissance – 265 ch dans le Sportage, par exemple -, les PHEV sont particulièrement agréables à conduire, et particulièrement bien équipés, ce qui n’est pas sans importance pour convaincre sur le marché du travail. En d’autres termes, l’hybride rechargeable n’a pas encore dit son dernier mot. Kia lui-même, par exemple, continuera à mettre l’accent sur les PHEV et les véhicules 100 % électriques pendant un certain temps encore, notamment avec le Sportage, qui reçoit pour la première fois un dérivé spécial adapté à l’Europe.
Cet article vous a été présenté par Kia Belgique. Toutes les informations sur le nouveau Sportage, y compris l’hybride rechargeable, sont disponibles ici.
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