Le 1er juillet dernier, notre fiscalité a pris un virage important en faveur de la techbnologie 100% électrique. Les résultats sont déjà là et l’on constate une percée importante des EV dans les parcs d’entreprises. Mais qu’en est-il de l’ancien chouchou des flottes, l’hybride Plug-In ?
Réalisons l’exercice en nous basant sur le nouveau Ford Kuga PHEV. Modèle hybride Plug-In le plus vendu en Europe, ce SUV a été profondément remanié en ce début d’année. Son style s’est sensiblement modernisé, avec des lignes plus tendues, une nouvelle calandre et de nouveaux projecteurs reliés entre eux par un bandeau LED. À l’arrière, les différences sont plus subtiles mais la signature lumineuse peaufinée et la poignée de coffre dissimulée au-dessus de la plaque d’immatriculation réhaussent néanmoins l’ensemble. De plus, l’intérieur est mis à jour avec le nouveau système SYNC4 qui gère le système d’info-divertissement, deux fois plus puissant que son prédécesseur.
D’ailleurs, Le système SYNC 4 permet également de profiter pleinement de la capacité de traction du
nouveau Kuga (jusqu’à 2 100 kg, la meilleure de la catégorie), grâce à la Trailer Connection Checklist qui garantit un raccordement sûr. Lorsque le conducteur entre les dimensions de la voiture et de la remorque dans la Trailer Tow Navigation, SYNC 4 sélectionne un itinéraire qui évite les virages serrés, les ponts bas et d’autres obstacles.
Ce PHEV conserve sa batterie de 14,4 kWh et peut toujours parcourir près de 70 km sur une charge complète. La puissance totale du système hybride Plug-In a légèrement augmenté, passant de 225 à 243 ch, ce qui permet au Kuga d’atteindre le 0 à 100 km/h en 7,3 secondes, soit 2 secondes plus vite qu’auparavant. Techniquement, le bloc 2.5 litres à essence fonctionne toujours selon le cycle Atkinson, ce qui le rend particulièrement économique, surtout lorsqu’il s’accorde avec le moteur électrique. Une fois la batterie complètement déchargée, le Kuga peut en outre fonctionner comme un hybride autorechargeable « classique », ce qui lui permet de se maintenir à un niveau de consommation bas.
Que dit la fiscalité ?
Sachant qu’un hybride Plug-In est généralement moins cher à l’achat qu’un véhicule 100% électrique et que les coûts d’exploitation du Kuga restent relativement faibles, qu’en est-il de la fiscalité ?
Grâce à leurs émissions de CO2 très faibles, les véhicules hybrides Plug-In bénéficient toujours d’une fiscalité très favorable. Aussi favorable, même, que celle appliquée aux EV en matière de contribution CO2, avec un montant dû minimal. Idem pour l’ATN, qui reste également très faible. Dépendant du prix final du Kuga, on parle aussi ici d’un montant minimal, voire à peine plus.
La déductibilité fiscale est en outre assurée pendant encore un bon moment pour les hybrides Plug-In : 100 % en 2024 et 75 % en 2025. En 2026, elle tombe à 50 %, avant d’être réduite à 25 % en 2027, et 0 % en 2028. Pour les quelques années à venir – le temps, par exemple, de s’assurer une transition douce vers le full électrique – un PHEV reste donc intéressant.. à condition qu’il vous soit livré le plus tôt possible !
En d’autres termes, les hybrides Plug-In ne sont pas encore exclus du marché des flottes. À court terme, la technologie reste certainement très pertinente, tant sur le plan fiscal qu’au niveau des frais d’exploitation, pour ceux qui ne se sentent pas encore tout à fait prêts à basculer vers le 100 % électrique.
FLEET Connect offre l’accès au réseau FLEET.be pour les entreprises qui désirent partager leurs projets et solutions avec la communauté FLEET. Cet article est le fruit d’une collaboration entre le FLEET Content Studio d’Effective Media et Ford Belgium.
#Advertorial Ford Motor Company (Belgium) S.A.