Il semble qu’il existe encore une confusion, notamment auprès de certains secrétariats sociaux, quant à la définition de “faux hybrides”.
Les voitures autorechargeables – qui ne doivent donc pas être branchés pour bénéficier d’une autonomie électrique – ne peuvent jamais être considérées comme des “faux hybrides”. Fiscalement, elles sont traitées comme des voitures roulant à l’essence. Les Toyota et Lexus ne sont donc pas de faux hybrides. Idem pour tous les autres modèles hybrides autorechargeables dans le catalogue des autres marques.
A (re)lire:
Voitures de société : tout savoir sur la fiscalité 2021
Cette notion – certes malheureuse – de “faux hybrides” ne concerne que quelques hybrides rechargeables (aussi appelés plug-in hybrides), dont voici la liste la plus récente (avec les véhicules correspondants). C’est-à-dire des voitures qui nécessitent d’être branchées à une prise pour disposer d’autonomie électrique.
En plus de devoir être rechargeable via une prise, une voiture hybride sera considérée comme “faux hybride” si :
- elle émet plus de 50 grammes de CO2
- OU si le ratio énergétique de sa batterie électrique n’atteint pas les 0,5 kWh/100 kilos de poids du véhicule
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